La NASA promet 30 000 dollars à toute personne pouvant l’aider à résoudre le problème du « caca dans l’Espace »!

L’Homme a beau projeter de coloniser Mars et se targuer de faire de grands pas pour l’Humanité à chacune de ses sorties spatiales, il lui reste quelques petites foulées à accomplir pour améliorer son confort une fois dans les étoiles.


Dans une très sérieuse intervention vidéo, l’astronaute vétéran Richard Mastracchio, l’air grave, vient nous rappeler que « la vie dans l’Espace n’est pas toujours glamour ». Et pour cause, son intervention est censée promouvoir le « Space Poop Challenge », soit le « défi du caca dans l’Espace ».

Un programme mis en place par la NASA qui invite les internautes à « trouver une solution à la collecte et au traitement des déjections des astronautes en combinaison dans l’espace » en cas de situation extrême. Car, à l’heure actuelle, ces héros des temps modernes ont recours à de simples couches lors d’urgence, comme une dépressurisation du vaisseau.

Dans de tels cas, Richard Mastracchio explique que les astronautes sont forcés à rester dans leur combinaison qui leur offre une autonomie de six jours en oxygène, nutriments et protection. Déjections humaines comprises. Le système « fonctionne très bien 8 ou 12 heures pour les déchets liquides », mais peut s’avérer dangereux par la suite, en raison des risques d’infections pouvant « blesser voire tuer ».

Pour Richard Mastracchio le système idéal serait intégré à la combinaison, permettrait la collecte et le reflux des déchets sans internvention humaine. Comme le précise l’agence spatiale américaine, il devra par ailleurs tenir compte des spécificités d’un voyage spatial et fonctionner au moins 6 jours ou 144 heures.


Pour autant, le dispositif pourrait s’avérer utile sur terre. Vous voilà en possession de tous les outils pour tenter d’obtenir 30 000 dollars.

Si la NASA cherche encore la meilleure option pour affronter les situations extrêmes, faire ses besoins naturels dans la Station Spatiale Internationale (ISS) constitue un réel défi.

Pour uriner, les astronautes disposent d’un collecteur personnel ressemblant à un petit entonnoir. Une fois recyclée, l’urine est transformée en eau potable. Quant aux déjections que nous qualifierons de solides, la situation se complique.

Les toilettes sont particulièrement étroites et ont un diamètre de 10 cm, soit trois à quatre fois inférieur au diamètre standard sur notre planète Terre. Pour rendre l’instant le moins désagréable possible, des poignées sont à disposition pour éviter de dériver.

Source: 7sur7.be

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