« Anger Room »: une salle à louer spécialement conçue pour tout casser

[adszaooing]Votre ex s’est marié, vous êtes coincé dans les embouteillages ou votre tout nouveau smartphone vient de vous lâcher, vous avez besoin de décompresser. Dans ces cas-là, certains pratiquent la méditation, d’autres finissent la boîte de cookies et d’autres encore ont une légère envie de se défouler avec un marteau. Si cette dernière option paraissait un peu compliquée dans le passé, ce n’est plus le cas aujourd’hui.

Comme le révèle Konbini, une entreprise texane a en effet eu la bonne idée de mettre en place un service baptisé « Anger Room » (salle de la colère). Le concept est simple, vous louez une pièce afin de pouvoir démolir tout ce qui s’y trouve. L’espace est personnalisable, il peut ressembler à un bureau ou à une cuisine par exemple et vous pouvez réclamer certains objets: une télévision, un vase, des ballons, un punching-ball, etc. Les « armes de destruction » vous sont par ailleurs fournies tout comme le matériel de protection (casque, lunettes, etc.)

Vous avez ensuite le choix entre trois formules: « J’ai besoin d’une pause » (5 minutes), « Se déchaîner » (15 minutes) ou « Démolition » (25 minutes). Les prix varient entre 25 et 75 dollars (entre 22 et 68 euros). Apparemment populaire, le service s’est exporté dans d’autres villes des Etats-Unis comme Los Angeles, New York ou encore Chicago. « Cela peut sembler fou au début mais une fois que vous avez essayé cette méthode pour évacuer le stress, rien ne sera comparable », affirme la société.

Posté par Anger Room sur jeudi 10 mai 2012

Via 7sur7.be

Voir aussi:

En petit bikini, Mariah Carey ne fait pas du tout ses 49 ans
Mia tombe des escaliers et perd connaissance: la maman est sauvée par son Labrador qui a poussé sa fille de 6 ans à appeler les secours!
Le magasin de fast-fashion Shein vient de lancer un mini-short en jean plus petit que des sous-vêtements
En Inde, le remède traditionnel et radical contre l’asthme « Un poisson vivant dans la gorge »
Se curer le nez peut être dangereux en période de crise sanitaire