Deux Corses font la sieste
Adossés à un olivier, deux Corses font la sieste dans un champ, en contrebas de la route.
Arrive à plus de cent à l’heure un camion de la Brink’s qui, emporté par la vitesse, manque le virage, dévale le talus et vient s’écraser à l’autre extrémité du champ.
Le camion est disloqué, les deux convoyeurs sont inanimés, et les sacs de fonds éventrés laissent échapper une montagne de billets.
– Oh! Doumé ! Si le vent se lève, on est milliardaires …
Voir aussi:
« les papilles gustatives sont sur le bout de la langue… »Désespérément blonde
L’héritage du père …
Ah! c’est fort de calva !
« On est bien mieux ici qu’en face ! »
