Elle ne souffre d’aucun handicap, mais cette femme veut être paralysée en permanence!

Cette chimiste de 61 ans de Salt Lake City, dans l’Utah, souhaite y parvenir et s’est consacrée à vivre sa vie comme une personne handicapée.



Chloe Jennings-White est une femme parfaitement normale et active avec une parfaite paire de membres fonctionnels. Elle se voit comme une paraplégique et aime vivre dans un fauteuil roulant, non pas parce qu’elle en a besoin, mais parce qu’elle aime ça.

Utilisant des attelles de jambe qui verrouillent ses genoux, elle s’identifie comme une personne souffrant de trouble identitaire de l’intégrité corporelle. Mais chaque fois qu’elle sent le besoin de monter des escaliers, elle sort simplement de son fauteuil roulant et utilise ses pieds pour monter.

Les randonnées à ski et les randonnées de 12 heures ne sont pas une tâche pour elle car Chloé les fait facilement sans aucune aide. Cependant, ce n’est pas ce qui rend Chloé heureuse. Être paraplégique est ce qui la rend vraiment heureuse de l’intérieur.

Trouble d’identité de l’intégrité corporelle.
« Quand elle avait neuf ans, White a pris son vélo et a roulé sur une grande scène en bois qu’elle avait installée dans un parc local, dans le seul but de s’écraser et de se casser le dos », a rapporté Oddity Central.

L’accident de vélo ne s’est heureusement pas terminé en drame, elle atterrit sur son cou et non sur son dos, comme elle l’avait prévu.

C’est à ce moment qu’elle réalisa qu’elle aurait pu finir par être paralysée du cou, ce qui pouvait la rendre complètement immobile – et ce n’est pas exactement ce qu’elle voulait en premier lieu.


Depuis la petite enfance, Chloé a toujours eu le désir d’être handicapée. Peu de temps après son accident de vélo, la tante de Chloé est devenue paraplégique, et Chloé s’est retrouvée à désirer la situation encore plus.

En 2008, les médecins ont diagnostiqué Chloe avec le trouble identitaire de l’intégrité corporelle TIIC, également appelé «transcapacité». Un trouble psychologique extrêmement rare qui conduit les patients à croire qu’ils seraient plus heureux s’ils étaient paraplégiques ou amputés. Vivre avec un handicap devient l’état d’esprit par défaut des patients souffrant du trouble.

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