Que regarde-t-on surtout chez une femme ?

Yeux, visage, cheveux, mains, poitrine, jambes… ? En fait, lorsqu’ils regardent une femme, les hommes s’attardent bien davantage sur ses formes. Mais c’est le cas aussi lorsqu’une dame en observe une autre.
Tout cela, c’est un héritage de l’évolution humaine. Nous y reviendrons. Attardons-nous d’abord sur cette expérience conduite à l’université du Nebraska. Une quarantaine de messieurs aux profils variés (âge, statut socio-économique, profession…) ont été équipés d’un appareil destiné à enregistrer leurs plus subtils mouvements oculaires (technique du « eye-tracking »). Des photos de femmes de morphologies diverses ont été projetées.
Résultat : ils passent beaucoup plus de temps à scruter le corps que le visage. Et leur regard se fait encore plus insistant face à une forte poitrine, à une taille fine et à des hanches généreuses.
Un comportement lié à l’évolution, donc, nous disent les spécialistes, en ce sens que les « mâles » évaluent les atouts procréatifs des partenaires possibles. L’un des auteurs avance un élément complémentaire, de nature contemporaine : « Les médias, la télévision, la publicité…, réduisent le corps des femmes à des stéréotypes. Lorsqu’au quotidien nous braquons notre propre objectif, on a tendance à focaliser sur ces parties du corps ».
Il faut noter que la même expérience a été réalisée avec des femmes cette fois et les résultats révèlent un schéma identique : les dames portent leur regard sur les formes féminines plutôt que sur le visage. Une manière de jauger les concurrentes potentielles ?
Source
Voir aussi:
Cette médecin déconseille vivement d’uriner dans la doucheElle dépense près de 300 000$ en chirurgies afin de ressembler à Pamela Anderson
5 alternatives naturelles pour remplacer le paracétamol
“Je veux mourir, la mort m’a oubliée, je suis fatiguée », déclare une femme de 106 ans
Au chômage parce qu’elle est «trop grosse pour travailler», prévoit un mariage de 10 000 £ avec une calèche et une lune de miel au Mexique financée par le contribuable et qui affirme: «C’est mon droit humain»