Ce que ces 4 sœurs font de leur utérus vous risquez d’être choqués ! !
Ces quatre sœurs sont des mères porteuses. Elles mettent leurs corps au service de couples incapables d’avoir des enfants, prêts à payer plus que ces femmes pourraient gagner en 20 ans. C’est une affaire de famille, dont elles ne parlent pas en dehors de leur maison.
Leurs voisins les accusent de trafic d’enfants, mais ce sont des femmes sans emploi qui essaient de prévoir leur avenir.
C’est l’aînée de la famille qui a commencé cette affaire, en entendant parler que des gens cherchaient des mères porteuses. La décision a été facile à prendre, leur famille ne roule pas sur l’or et ses membres doivent se partager une petite maison. Trouver un travail leur était donc nécessaire pour soutenir leur famille, et louer leur utérus pour gagner plus que ce que l’un de leur frère fait en dix ans était un choix facile.
Déjà mère de trois enfants, de pères différents, Milagros dit qu’il ne manque que le plaisir de l’acte sexuel au travail de mère porteuse. Ce n’est que lorsqu’elle a rapporté les 20 000 $ découlant de son premier bébé que Martha, la deuxième des sœurs, a décidé de la suivre. Bientôt, Maria et Paulina ont suivi leur exemple.
Après tout, 20 000 $ pour porter un enfant à terme en plus d’avoir toutes ses dépenses payées pendant la grossesse est alléchant. C’est l’équivalent de 10 ans de salaire pour leur frère qui travaille à la capitale de l’état de Tabasco. Pour les mères célibataires, il y a peu de possibilités de travail. Serveuse ou prostituée. Alors, être mère porteuse est une aubaine et une façon de prévoir l’avenir de sa famille.
Leur grand-mère les encourage d’ailleurs à continuer jusqu’à ce qu’elles ne puissent plus le faire à l’âge de 35 ans. Mais ce qui ne vient pas naturellement aux sœurs, c’est de donner l’enfant à sa nouvelle famille. Elles nourrissent les bébés au sein pendant 10 jours, et un lien difficile à briser se crée. Paulina a même observé ses sœurs remettre le bébé à leur client dès qu’elles avaient accouché.
Milagros a terriblement souffert quand ses premiers clients, un couple infertile de Sinaloa, ont coupé tous les liens entre elle et le petit garçon qu’elle a porté, se réveillant parfois la nuit, se demandant où il est et ce qu’il fait. Elle espère d’ailleurs que ses clients actuels la laisseront garder contact avec eux quand elle leur remettra le bébé.
Martha dit qu’il est important de ne pas s’impliquer émotivement dans la grossesse. Mais elle semble ignorer son propre conseil, alors qu’elle montre fièrement une photo de sa première grossesse pour un client. Ce client lui envoie des photos de sa petite fille de deux ans par Facebook, chose que Martha espère voir continuer.
Quand il est arrivé pour la recueillir, il souhaitait passer autant de temps qu’il voulait avec la petite, mais Martha se sentait jalouse, même si sa tête lui disait le contraire. « Pendant un mois après qu’ils soient partis, j’étais triste. Je me réveillais la nuit, m’attendant à l’entendre pleurer pour que je m’occupe d’elle, mais il n’y avait rien d’autre que le silence. » Mais la perte n’est rien comparé à ce qu’elle gagnera. Avec l’argent de son premier client, elle pourra bientôt emménager dans sa propre maison, qui sera prête dans moins d’un mois.
L’industrie dans laquelle elles opèrent est très peu légiférée. On y voit beaucoup de faux papiers médicaux, des batailles judiciaires autour des enfants et même des avortements forcés, comme Milagros l’a vécu avec son premier client, qui était revenu sur sa décision. Il lui avait promis la moitié de l’argent, mais celui-ci n’est jamais venu.
L’État de Tabasco a pris des mesures pour faire contrôler cette industrie, ayant passé une réforme en janvier dernier afin de restreindre les activités. Il semblerait que ce soit trop tard, car la pratique est très étendue dans les régions pauvres où des résidents disent que leurs communautés deviennent des usines à bébés étrangers.
Mais cela n’effraie pas les couples qui continuent d’approcher les mères porteuses, prenant à leurs charges toutes les démarches administratives et légales, payant aussi pour les frais médicaux. Le fait de passer par une agence est seulement à titre de consultation et uniquement leurs noms apparaissent sur tous les papiers de revenus.
Milagros qui a déjà subi deux césariennes pense déjà à son prochain client, qu’elle devrait rencontrer en mars 2016, soit seulement six mois après avoir donné naissance. La jeune femme compte continuer d’être mère porteuse tant que son utérus pourra. Elle sacrifie son corps afin de prévoir l’avenir des siens, dans un pays où rien n’est facile. Voici quelques photos de ces sœurs.
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