Ce minuscule bébé de 400 grammes n’avait que 20% de chance de survivre et même les médecins sont étonnés.

Ashley Zachmeyer est une jeune femme de 22 ans et lorsqu’elle a appris qu’elle serait mère, elle était la première à ne pas y croire. C’est qu’Ashley avait été diagnostiquée comme étant atteinte du syndrome de Stein-Leventhal, ou ovaires polykystiques (SOPK).


Cette maladie fait en sorte que les femmes qui en sont atteintes ont malheureusement de plus fortes chances d’être infertiles et ainsi, Ashley s’était faite à l’idée qu’elle ne serait jamais maman.

Or, voilà qu’Ashley était bel et bien enceinte et de plus, elle avait déjà 7 semaines de grossesse à son actif.

Puis, à 12 semaines, en raison de la présence d’un caillot de sang, Ashley doit être mise au repos pendant plusieurs jours dans l’espoir d’assurer la survie de l’enfant.

À 18 semaines, les médecins ont une bonne nouvelle pour Ashley: le caillot de sang est disparu.

Toutefois, l’échographie se termine sur une note plutôt inquiétante: le petit bébé est trois semaines en retard dans son développement et un manque de liquide amniotique fait en sorte qu’on estime que ses chances de survie ne sont que de 20%.

À 26 semaines, l’inquiétude gagne encore du terrain, car on apprend à Ashley qu’il y a de fortes chances qu’elle effectue une fausse couche dans les 24 prochaines heures.

Ashely est donc hospitalisée et la jeune femme se prépare au pire.

Or, les 24 heures se transforment en journées et les journées deviennent des semaines.

Puis, après 4 semaines de ce stress inimaginable, Ashley doit maintenant accoucher, même si cela pourrait mettre la vie du bébé en danger.

Le 22 juin 2017, à 29 semaines et 5 jours de grossesse, le petit bébé voit enfin le jour, mais il ne pèse qu’un peu plus de 400 grammes.

Les jours qui suivront seront très importants pour la survie du bébé.

Ce dernier lutte sans cesse pour sa vie et à 4 jours de vie, on doit le transférer dans une unité de soins intensifs.

À ce moment, on ne sait toujours pas si le bébé survivra.

Le tout se poursuivra pendant plusieurs semaines, puis à 3 mois, on annonce aux parents qu’on peut enfin lui retirer les équipements qui l’aidaient à respirer.

Puis, à 108 jours de naissance, la petite Adalee peut enfin aller vivre chez ses parents.


9 mois après sa naissance, la petite Adalee était maintenant en pleine forme et on ne craint plus pour sa santé et son développement.


Or, disons-le, ce fut une aventure très éprouvante pour les parents et merci à eux d’avoir partagé leur histoire très inspirante!

Source: Love That Matters

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