Cette étudiante dépense son prêt en chirurgie esthétique

media_xll_8130366

19.700 euros (14.000 livres) lui étaient alloués pour ses études. Elle a préféré se faire refaire la poitrine et avoir des injections de botox.

Catherine Byrne, 22 ans à l’époque, a préféré considérer son prêt étudiant comme un « investissement pour l’avenir ». Mais pas comme on l’entend. Elle n’a pas privilégié sa culture, investi dans l’achat de livres ou de matériel pour ses études. Elle a investi l’argent dans une nouvelle poitrine, des injections de botox et de fillers.

Elle s’était inscrite à l’université. Après un mois, elle a abandonné toute intention d’étudier la psychologie à Londres. C’était un prétexte pour recevoir de l’argent. « Je savais déjà ce que j’allais faire de la somme », dit-elle au Sun. « Dès que l’argent a été versé sur mon compte, j’ai bloqué une date pour une augmentation mammaire à Londres et j’ai quitté l’université. Mes nouveaux seins m’ont permis de me sentir un million de fois mieux dans ma peau. » Elle ajoute: « Cela a confirmé ma volonté de dépenser cet argent pour des interventions esthétiques. »

Elle a ensuite investi dans des injections de botox et de collagène pour repulper ses lèvres. Elle a aussi dépensé cet argent dans des vêtements et l’achat d’une voiture neuve. « J’aurais gaspillé si j’avais dépensé cet argent pour des livres ennuyeux ». La jeune femme, originaire d’Essex, continue: « Je suis la seule qui a vraiment investi dans mon avenir parce que ma poitrine généreuse me rend plus heureuse chaque jour. »

Source 7sur7.be

Voir aussi:

Elle sent une douleur à la cuisse. Puis c’est l’horreur quand elle réalise que sa jambe est en train de décomposer.
Critiquée pour s’habiller de façon « inappropriée » à 72 ans : elle répond du tac au tac
Un jeune garçon appelle la police parce que sa mère est ivre au volant
Ce que révèle la position de vos jambes lorsque vous êtes assises sur votre personnalité !
« J’étais simplement en train de faire mon travail comme agent d’entretien pour la municipalité. On m’a dit que ma photo était partout sur Internet »