Elle voulait un «lifting brésilien» pour avoir de plus grosses fesses, Patricia est morte après que le praticien lui a injecté du silicone industriel

Patricia Rodrigues dos Santos, une brézilienne de 34 ans, est morte quelques heures après l’intervention chirurgicale qui devait lui rendre ses fesses plus grosses.

Patricia Rodrigues dos Santos, 34 ans, est morte quelques heures après la procédure au cours de laquelle la substance toxique a été injectée dans son corps. Cette jeune femme originaire du Brézil voulait se refaire les fesses. Mais tout ne s’est pas déroulé comme prévu, comme l’explique le Mirror.

L’opération lui a coûté moins de 300 euros dans un salon de beauté de la municipalité brésilienne de Sao Goncalo, dans la région métropolitaine de Rio de Janeiro. Elle a quitté la clinique esthétique vers 21 heures le 20 octobre, se plaignant de vertiges, et aurait vomi chez elle. Elle a été emmenée d’urgence aux urgences au petit matin, et elle y est décédée quelques heures plus tard.

Les membres de la famille présents à l’enterrement ont déclaré aux médias locaux que Patricia ne les avait pas informés de son projet de chirurgie. Après autopsie, il a été révélé que la substance trouvée dans son corps était bien du silicone industriel, le praticien qui a pratiqué cette intervention, Leonardo, sera accusé d’homicide intentionnel et de violation des lois du pays concernant les professionnels de la santé qui doivent être agréés.

Un lifting des fesses brésilien est une procédure dans laquelle des dépôts de graisse sont injectés dans les fesses pour les faire paraître plus grosses. Dans le pays, cette procédure a connu un certain nombre de tragédies…

Voir aussi:

Cette femme pense avoir un simple point noir… elle finit avec un gros trou dans le visage !
L’étrange portrait-robot de la police britannique qui fait bien rire !
On se moque d’une adolescente parce qu’elle a de l’acné : la jeune fille une raconte son histoire sur les réseaux sociaux pour défier les harceleurs
Critiquée pour sa tenue «inappropriée» pour emmener son fils à l’école, Vanesa déclare : «Je ne fais de mal à personne»
Des braconniers photographiés en train de rire devant le cadavre d’un léopard très rare qu’ils viennent de tuer sauvagement.