Il installe une caméra pour filmer les fantômes et surprend sa femme en train de coucher avec son fils

Les images visionnées par ce mari australien ont révélé une vérité bouleversante. Passionné par les activités paranormales, l’homme a installé des caméras de vidéosurveillance de chasse aux fantômes, aussi appelées “Ghost Hunt Cameras”. Malheureusement, ce qu’il découvre le laisse sans voix.

Les spécialistes ne résignent pas à expliquer les raisons qui pousseraient une femme à commettre un adultère, au point d’être obnubilée par son amant et ne pas mesurer les conséquences de son acte.

Edmund Bergler, psychiatre, psychanalyste et auteur de plus de 25 livres de psychologie explique qu’une femme ne peut éprouver du désir pour d’autres hommes lorsqu’elle a des sentiments, mais que cela doit lui garantir d’être aimée en retour, et de se sentir spéciale. Il insiste sur le caractère narcissique de l’amour chez la femme.

Lorsque l’objet de son amour ne suffit pas à satisfaire ce narcissisme, cela pourrait la pousser à toujours rechercher cet amour “parfait” et idéal, en préservant les qualités de son partenaire, et cherchant à améliorer celles qui ne lui plaisent pas. C’est ce qu’on appelle le syndrome d’Emma Bovary.

Une autre raison peut la pousser à se montrer infidèle et de tenter des expériences pour le moins, risquées. C’est la vengeance ! Elle ne commet l’irréparable que lorsque son égo est touché et qu’elle se sent écrasée dans son amour propre.

Le mari dont l’histoire a fait réagir la toile, réside en Tasmanie, un état australien plus réputé pour la beauté de sa nature que par des faits divers aussi surprenants. Celui-ci avait installé plusieurs caméras afin de se rassurer quant à la présence d’entités paranormales dans sa maison.

C’est en pleine nuit qu’il les a alors mis en place, et qu’il les a laissé tourner. Cependant, sa découverte était loin de ce qu’il avait imaginé : sa femme et son fils de 16 ans étaient dans une position très intime, en plein rapport sexuel.

Tels ont été les propos de la défense de la femme, conduite devant un tribunal par l’homme qui partageait sa vie. Elle avait tenté de se justifier en inventant une histoire sur les liens qui l’unissaient avec son beau-fils mineur, avant d’avouer, sous la pression, qu’elle n’en était pas à sa première fois avec le jeune adolescent, et qu’elle n’était pas au courant des lois concernant le consentement sexuel.

Malgré ces tentatives de justifier sa mésaventure, elle a fini par plaider coupable.

Source: Telegraph

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