« Je suis allergique à mon petit ami » : une femme souffre d’éruptions cutanées et de larmoiements chaque fois qu’elle est avec son partenaire.

Virginia Nault a d’abord pensé qu’il s’agissait d’une allergie saisonnière, mais elle a écarté cette hypothèse lorsqu’elle a remarqué que les symptômes apparaissaient après qu’elle ait été avec son petit ami.

Virginia Nault est une jeune femme de 22 ans originaire de Boston, dans le Massachusetts (États-Unis), qui traverse une période confuse et étrange dans sa vie amoureuse, et sa santé s’en trouve affectée.

Selon son récit, chaque fois qu’elle rencontre son petit ami, elle éprouve une série d’éruptions cutanées qui lui font penser qu’il s’agit d’une allergie à ce dernier.

La jeune fille a déclaré que c’est quelque chose qui a commencé en décembre 2022, quand elle a commencé à fréquenter Steve Johnson, qu’elle a rencontré sur une application de rencontre. La relation se passait à merveille jusqu’à ce qu’elle remarque que quelque chose ne tournait pas rond chez elle.

« Cela a commencé par des démangeaisons des yeux et des larmoiements », a déclaré Virginia. Elle a d’abord pensé qu’il s’agissait d’une « allergie saisonnière », car elle avait déjà souffert d’eczéma et d’autres affections par le passé.

Virginia a continué à sortir avec Steve normalement, jusqu’à ce qu’elle remarque, six mois plus tard, que ses taches cutanées, ses larmoiements et ses démangeaisons apparaissaient lorsqu’elle était avec lui.

« Nous avons remarqué qu’après avoir passé quelques jours dans son appartement, j’avais une éruption cutanée très importante la semaine suivante et je me sentais très mal pendant quelques jours », a-t-elle déclaré. Elle a même remarqué que sa peau se rétablissait en milieu de semaine, mais qu’elle était à nouveau affectée après avoir passé un week-end avec son petit ami.

« Il y a quelque chose en lui qui me fait réagir », a déclaré Virginia, selon les médias américains, avant d’arriver à une conclusion inhabituelle. « Je suis allergique à lui », a-t-elle déclaré.

Bien qu’elle ne fasse pas référence à lui en tant que tel, mais à « quelque chose dans l’air de son appartement, un produit pour le corps ou quelque chose qu’il utilise », a-t-elle expliqué selon le site.

Pour vérifier, le petit ami aurait changé de lessive, d’articles de toilette et de parfum, mais la situation de Virginia ne s’est pas améliorée : « Il a été tellement patient et m’a tellement soutenue, mais il est tout aussi frustré que moi », a expliqué la jeune femme.

Malgré des visites chez un dermatologue, deux allergologues et un ophtalmologue, les symptômes ont persisté au point qu’elle s’est retrouvée aux urgences de l’hôpital et a dû prendre des antihistaminiques et des stéroïdes.

névitablement, les éruptions cutanées et les autres symptômes « ont un peu tendu notre relation à cause de la frustration », si bien qu’elle a été obligée de ne pas lui rendre visite.

« J’ai cessé d’aller à son appartement parce que nous ne savions pas s’il y avait quelque chose. Nous avons plus de choses à planifier, comme aller dîner ensemble ou aller au cinéma, donc ce n’est pas aussi détendu. Mais d’un autre côté, il faut savoir rire. Si vous vous enfermez dans le stress, la frustration et tout le reste, c’est la misère. Il faut donc rire un peu », a commenté la jeune fille, selon la source.

En parlant de son problème sur les réseaux sociaux, de nombreux utilisateurs ont suggéré, avec des commentaires tels que « Chérie, c’est peut-être un signe », « Ton corps ne te mentira pas, désolée » et « C’est bon, apprends à la dure, soeurette », que son petit ami était infidèle. Virginia n’a cependant pas voulu écouter les ragots, elle lui fait confiance et pense que leur relation se passe bien.

« S’il me trompait, vu le temps que j’ai passé là-bas, je pense que je l’aurais découvert. Je n’en fais pas toute une histoire », a-t-elle déclaré, selon le média. Par ailleurs, elle connaîtra bientôt les résultats du test environnemental et du test sur les produits et ingrédients, afin de savoir ce qui provoque ces symptômes gênants.

Source :  New York Post

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