La mauvaise association: Stress et perte poids


Quel est le mécanisme du stress, comment lutter contre ce stress ?

Stressed-woman
Le stress, un des nombreux fléau de notre société, peut avoir impact sur la ligne. En effet, généralement qui dit stress dit perte d’appétit ou au contraire grignotage intempestif…
De quel stress parlons-nous ?

Tout d’abord, je tiens à préciser que lorsque je parlerai de stress dans cet article, il s’agira du stress chronique qui nous pourri la vie et pas de la poussée d’adrénaline qui nous permet de nous dépasser ou d’éviter un danger.

De quelle façon le stress peut-il nous faire grossir ?

Le stress a une conséquence directe sur le taux de cortisol que nous avons dans le sang. Le cortisol est une hormone sécrétée par la glande surrénale (reins), qui agit sur la gestion de nos réserves d’énergie, stimule la production d’insuline et maintient l’augmentation du glucose dans le sang. Il en résulte un accroissement de notre appétit et donc de notre envie de manger. Le cortisol est communément appelé l’hormone du stress.


Le lien entre stress, cortisol et prise de poids a été démontré par deux études cliniques portant sur des jeunes femmes et réalisées par des chercheurs de l’Université de Yale et de l’Université de la Colombie Britannique.

Ces chercheurs sont parvenus à démontrer que les femmes qui surveillaient de manière quasiment obsessionnelle leur alimentation (et donc sont perpétuellement stressées) affichent un taux de cortisol et de masse corporelle plus élevé, un appétit plus grand, un attrait marqué pour les aliments dits de réconfort et enfin sont plus souvent de mauvaise humeur.

Voir aussi:

Elle reçoit un avertissement à son club de gym pour sa tenue qui est jugée inappropriée
Voici ce que la voyante aveugle Baba Vanga, alias la Nostradamus des Balkans, a prédit pour l’année 2022
Une chatte brûlée vive dans un parc!
Une fillette autiste de 5 ans voit une mariée et croit vraiment qu’elle rencontre Cendrillon.
Une femme étreint son petit ami et le supplie de ne pas mourir après l’avoir «poignardé au ventre»