A 29 ans, elle a dépensé 62 000 euros en gadgets Hello Kitty

Natasha Goldsworth est une jeune femme de 29 ans à la recherche de l’âme soeur comme beaucoup d’autres femmes de son âge. Mais sa quête de l’amour est freinée par une passion, pour ne pas dire une obsession, très envahissante. La Britannique collectionne à l’envi tous les articles Hello Kitty qui croisent son chemin et son porte-monnaie. Une manie coûteuse qui donne la nausée à tout homme qui passe la porte de son appartement…


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L’adorable petit chaton au noeud rose made in Japan a sans doute fait craquer toutes les petites filles un jour. Nombre d’adultes profitent encore de l’engouement intergénérationnel de leurs filles, nièces et filleules pour Hello Kitty afin d’acheter à l’occasion l’un des millions de produits dérivés. Natasha Goldsworth, elle n’est pas passée au-delà du stade mignon-kitsch Hello Kitty. Ses achats sont des cadeaux qu’elle s’offre à elle-même, toute victime qu’elle est de sa folie dépensière et de son obsession pour le personnage japonais.

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« Ils me rendent heureuse », explique la jeune femme au sujet de ses 10.000 objets au chaton rose qui jonchent son appartement du sol au plafond. Meubles, rideaux, boîtes à tartines, milliers de peluches, sapin de Noël, figurines sont exclusivement « brandés » Hello Kitty dans le monde de Natasha Goldsworth, qui a dépensé pour sa passion pas moins de 50.000 livres soit 62.000 euros. Assez pour ne plus savoir mettre un pied dans certaines pièces de son chez-elle. Trop peu pourtant pour apaiser ses pulsions.

Car l’ameublement, la décoration et les objets pratiques truffés de chats stylisés ne suffisent pas à cette collectionneuse excessive. Habillée en Hello Kitty des pieds à la tête – de la couronne aux souliers en passant par les sous-vêtements – Natasha ne passe pas inaperçu. Et si un homme craque malgré tout pour elle, il devra accepter ad vitam ce look enfantin voire puéril au risque de prendre la porte.

Car pas question pour cette célibataire de renoncer à sa manie pour un homme, fût-il parfait. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le coût de sa passion, mêlé au caractère obsessionnel de la jeune femme, n’aident pas ses amoureux éphémères à tolérer longtemps l’encombrement et l’écoeurement causés par cette adoration accaparante. « La plupart des hommes veulent que j’arrête de collecter les objets et que je les vende. Ou il me demandent de m’habiller autrement. Mais je ne m’y résous pas encore, Hello Kitty est une partie de moi et je veux rester moi-même. Donc je les mets dehors. Si un homme ne peut accepter mon Royaume Hello Kitty, il ne m’intéresse pas », résume simplement la fanatique.


Et si l’on pouvait croire que sa folie aurait une fin marquée par les limites d’espace de son petit appartement, il n’en est rien. Natasha Goldsworth s’apprête à déménager pour que sa collection s’étende enfin à l’envi. Mais ses finances sont au plus mal, car les 62.000 euros dépensés en babioles ne lui permettent plus aucun autre écart. Voilà des années que la jeune femme se prive de vacances pour acheter des bricoles Hello Kitty. Des années également qu’elle n’a, pour la même raison, plus pu se permettre un restaurant. Sa frustration est grande, mais uniquement car elle n’a plus les moyens d’assumer sa folie dépensière qui l’empêche de résister devant chaque nouvel article. Ses proches viennent alors à la rescousse et la couvrent d’objets rêvés pour les anniversaires et fêtes diverses. Au moins une femme à qui on sait comment faire plaisir… mais est-ce vraiment lui rendre service?

Source: 7sur7.be

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