Une jeune femme de 23 ans touche 300 euros par nuit pour passer du temps avec un homme qui veut être son «tabouret humain»

Depuis quelques années, un scandale concernant les Sugar Daddies et Sugar babies fait rage auprès des jeunes étudiantes. Le concept ? Des jeunes filles qui se font entretenir par des hommes plus vieux qui « pourraient être leur père » (en termes d’âge), en échange de certains services. C’est ce que fait Leelee pour pouvoir vivre la vie qu’elle a décidé de vivre. Et sans ses Sugar Daddies, elle ne pourrait pas se payer tous ces articles de luxe.

Leelee se fait payer des sommes astronomiques pour pouvoir se payer des sacs de luxe, des chaussures et tout ce qui lui passe par la tête. Pour passer une soirée avec cette jeune femme de 23 ans originaire du Sussex au Royaume-Uni, il faut payer environ 300 euros. C’est ce que font 10 hommes de la région de Leelee.

C’est via un site de rencontre en ligne que Leelee choisit les hommes avec qui elle veut passer la nuit. En général, ce sont eux qui la contactent puis, la conversation s’engage, jusqu’à ce qu’un rendez-vous soit pris. Elle reçoit des messages du style : « Prêt à mentir sur la façon dont nous nous rencontrons ;). » Un jour, elle a reçu une demande surprenante : « Tu peux m’utiliser comme un tabouret humain ».

Tout ce que Leelee se disait, c’est qu’elle pourrait s’acheter des nouvelles choses : « Il m’a acheté de nouveaux talons ». C’est un soutien financier qui lui plaît pour lui permettre de mener la grande vie. Mais le revers de la médaille, c’est qu’elle se fait accuser de prostitution, car cette pratique « met les jeunes femmes en danger et peut les endommager émotionnellement ».

Leelee se défend : « Mes Sugar Daddies sont fantastiques, ils sont tellement affectueux. Ils vous emmènent dans des endroits que vous n’avez jamais vus auparavant et vous met de l’argent dans votre poche. Cet argent, vous ne l’auriez pas eu sinon. Rencontrer un homme comme ça, c’est un cadeau de Noël en soi. » Pour cette jeune femme, ce n’est pas une question de sexe : « Je n’ai jamais eu de relations sexuelles avec aucun de mes admirateurs, mais si j’avais un lien plus fort avec eux, je le ferais… s’ils sont gentils et que je les aime bien. »

Elle n’a pas de temps pour un petit ami. Ancienne serveuse, l’argent qu’elle récoltait servait à aider sa maman malade. Mais ce n’était pas suffisant, c’est comme cela qu’elle est rentrée dans le business des Sugar Daddies.

On compte aujourd’hui plus de 2 millions de jeunes filles inscrites sur ces sites de rencontres spéciales. Même si cette pratique fait polémique, elle n’est pas interdite. Et surtout, elle rapporte gros. En moyenne, une femme peut toucher jusqu’à 20.000 euros par an. Leelee ne fait cela que depuis un mois, mais elle a déjà touché plus de 500 euros et de nombreux cadeaux de luxe. Elle est actuellement en train de négocier pour qu’un « Daddies » lui paye 600 euros par mois. « Des hommes m’ont envoyé de l’argent pour me faire les ongles, une pédicure, pour m’acheter de nouvelles chaussures », dit-elle, expliquant qu’elle envoie des photos de ses nouveaux achats chaque fois car ils aiment savoir à quoi sert leur argent.

Les travers sont néanmoins présents. Une jeune femme a été enlevée et séquestrée car elle ne voulait pas coucher avec l’homme qui l’entretenait. Des témoignages de femmes agressées pullulent sur les réseaux sociaux. Ce ne sont pas des travailleuses du sexe. Le problème, c’est que ces sites regorgent de fétichistes qui cherchent plus qu’une simple compagnie. Leelee a une astuce pour assurer sa sécurité : « Au moins un membre de la famille ou un ami sait où je me trouve chaque fois que je rencontre un « Daddy » en personne. »

Au cours des six dernières semaines, Leelee a accumulé au moins 10 « Daddies » et insiste sur le fait qu’elle aime discuter avec eux autant qu’elle apprécie leurs dons financiers. Je les appelle « papa » et ils m’appellent « bébé ». « On se parle tous les jours via les réseaux sociaux, par message aussi, ils veulent juste un peu d’attention. Ils veulent juste qu’on s’embrasse et se câline. »

Elle est très claire sur un point, parmi ses 10 hommes, un seul est marié, mais « Je ne couche pas avec eux, donc ce n’est pas de l’infidélité ». Certains hommes sont seuls, elle les accompagne donc au restaurant ou d’autres lieux pour qu’ils soient accompagnés. « Il cherchait juste un peu de compagnie », dit-elle. Elle établit les règles avant le rendez-vous, les termes de la rencontre sont donc clairs pour tout le monde.

Des jeunes aussi essaient de s’attirer les faveurs de la jeune femme, mais elle refuse de sortir avec des garçons, plus jeune qu’elle. « Ils sont trop immatures, et n’ont pas de conversation intéressante.

« Je me réveille tous les jours avec un sourire », car elle sait que cet argent aide sa maman. Lorsqu’elle se sera remise de sa maladie, elle souhaite retourner à sa propre vie et stopper ces aventures. Mais pour le moment, elle s’amuse.

En ces périodes de Noël, de nombreuses femmes se tournent vers les Sugar Daddies pour pouvoir se payer des choses qu’elles n’auraient pas pu avoir autrement. « Les gens sont plus généreux à ces moments », explique-t-elle. Et Leelee espère que ses « Daddies » se sentiront généreux cette saison. « Peut-être qu’ils m’offriront des friandises pour Noël, j’ai été bonne avec eux », dit-elle. « Peut-être que je leur enverrai une petite photo de moi à côté su sapin de Noël. »

Source: The Sun

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