Depuis 12 ans, un mari pédophile droguait sa femme chaque nuit pour pouvoir violer sa fille

Une mère de famille dont l’identité est protégée a décidé de raconter le moment où elle a réalisé que son mari était pédophile. Voici ce qu’elle a écrit :

« Le 13 janvier 2014 a commencé comme n’importe quelle autre journée pour moi. À la fin de la journée, j’ai réalisé que mon mari était un monstre. Un horrible cauchemar a alors commencé et a englouti mes deux filles et toute ma famille. Ce sont les actes destructeurs d’un vil prédateur qui ont transformé notre vie en un véritable enfer. 

Quand vous êtes marié depuis 12 ans, vous n’imaginez pas que votre mari vous drogue la nuit pour pouvoir abuser de votre fille sans que vous le sachiez. Mais mon mari, Timothy James Stewart, l’a fait. Aucun médecin ne pouvait expliquer pourquoi je me sentais si incroyablement fatiguée tout le temps.

Il droguait aussi Alice et l’agressait sexuellement. Elle n’avait que 12 ans. Pendant quatre ans, il l’a agressée sexuellement.

Puis il a essayé d’agresser ma fille cadette, Sally. Elle nous a écrit une lettre dénonçant son père, mais il l’a détruite avant que je ne la voie.

Ce jour fatidique de janvier, il s’est plaint qu’Alice ne l’appellait plus papa. (Il était son beau-père.) Quand j’ai dit à Alice que son beau-père méritait son respect, elle a dit: « Tu ne le connais pas. Tu n’as aucune idée de qui il est vraiment. « 

À la minute où elle l’a dit, j’ai su. Une fosse s’est ouverte dans mon estomac. J’ai dit à mon mari: « Tout ce qu’elle dit, indique que tu es inapproprié avec elle. » Il est parti sans dire un mot et c’est la dernière fois que je l’ai vu jusqu’à la cour. Il a été arrêté cette nuit-là dans les Blue Mountains.

En raison de l’enfer légal que ma vie est devenue pour les quatre années suivantes, j’ai parfois eu envie de le retrouver pour le pousser au bas d’une falaise.

Je me souviens que le détective nous avait dit que l’affaire prendrait deux ans et j’ai dit: « Pas du tout ». Je prendrais volontiers deux ans maintenant parce que je sais que ça allait prendre le double.

Je vis dans le sud-ouest de Sydney, à plus d’une heure de route de Paramatta ou de Wollongong, les tribunaux les plus proches.

J’organisais la garde de mes enfants, je prenais un congé et je passais trois heures de la journée à aller et venir au tribunal – seulement pour constater que l’audience avait été différée de six semaines.

La procédure pénale a été engagée devant le tribunal local de Campbelltown alors qu’il ne faisait face qu’à 12 chefs d’accusation. Mais la police a découvert sa réserve de cartes mémoire avec 99 autres incidents d’abus qu’il avait filmés pour sa gratification sexuelle dégueulasse, et l’affaire a été transférée au tribunal de district de Sydney. Après cela, j’ai dû y aller, ce qui a pris encore plus de temps.

Il y avait des délais légaux constants. Pendant ce temps, j’essayais de garder ma famille unie comme n’importe quelle autre mère célibataire, travaillant pour payer l’hypothèque et mettre de la nourriture sur la table. Mais je devais prendre tellement de congés que mon contrat de travail n’a pas été renouvelé.

En novembre 2017, après avoir attendu quatre longues années pour que justice soit faite, Timothy James Stewart, âgé de 45 ans, a finalement été reconnu coupable et condamné à 32 ans de prison. Puisse-t-il pourrir en prison pour ses crimes.

Pour obtenir justice, il m’a fallu au moins 30 semaines de mon temps sur quatre ans. C’était incroyablement stressant pour moi et ma famille. Je sens que j’ai maintenant besoin d’en parler. »

Source: Daily Mail

Voir aussi:

Cette jeune femme de 25 ans vit comme un bébé et dépense 300 euros par mois pour des couches
Un vol entre Belfast et Édimbourg est perturbé par une jeune femme sans masque qui tousse sur les passagers
Une jeune Australienne poste un selfie avec son ticket gagnant, elle se fait piquer son gain au tiercé
Des photos magiques des danseurs de ballet qui posent avec des chiens
Âgée de 89 ans, elle tricote plus de 400 couvertures pour les offrir à des chiens d’un refuge