« J’étais sans-abri et maintenant je suis millionnaire » : Une mère célibataire de cinq enfants est la preuve que les femmes peuvent tout avoir
Une mère célibataire de cinq enfants a passé sa vie à travailler dur pour gagner suffisamment d’argent afin d’offrir à ses enfants le genre de vie qu’elle n’a jamais eu en grandissant.
Rebecca Barr, 40 ans, est passée du traumatisme au triomphe, laissant derrière elle un foyer brisé, la maltraitance et le sans-abrisme, pour se constituer un portefeuille immobilier de plusieurs millions de livres.
L’entrepreneuse primée de Kingston-Upon-Thames, à Londres, a refusé d’abandonner lorsque les temps étaient durs et a continué à travailler tout en fondant une famille.
Elle a donné naissance à son cinquième enfant l’année dernière, et le fait d’être mère célibataire de cinq enfants n’arrête pas Rebecca, qui parvient à équilibrer sa vie personnelle et sa vie professionnelle avec une apparente facilité.
Aujourd’hui, elle souhaite mettre fin à la stigmatisation des mères célibataires et affirme que tout le monde peut gagner de l’argent sans limite, à condition de choisir d’y croire.
Elle a déclaré : « Les femmes peuvent créer leur propre histoire d’argent et nous pouvons tous devenir sauvagement riches à nos propres conditions, peu importe à quoi ressemble notre vie personnelle.
Mon enfance a été marquée par le chagrin, les abus, la violence et le sans-abrisme, mais je savais que j’étais destinée à plus.
Je refusais de croire que cela devait être ma vie, alors j’ai travaillé très dur pour changer les choses.
Je n’ai pas non plus eu la vie facile à l’âge adulte et je n’ai pas eu beaucoup de chance avec les hommes.
J’ai cinq merveilleux enfants de trois pères différents et il n’y a rien de mal à cela. Les gens peuvent me juger, mais j’embrasse ma famille unique et recomposée et je gagne suffisamment d’argent pour leur donner tout ce que je n’ai jamais eu ».
Rebecca a perdu son père alors qu’elle n’avait que quatre ans. Officier de marine, il est mort à 25 ans alors qu’il servait à l’étranger. À la suite de son décès, Rebecca, sa mère et sa sœur ont été expulsées de leurs quartiers de la marine à Portsmouth.
Elle a déclaré : « Nous avons été contraints de mener une vie instable à laquelle nous ne nous attendions pas. Ma mère ne s’est jamais vraiment remise de la mort de mon père et s’est remariée dans un mariage malheureux.
J’ai été témoin de comportements dysfonctionnels et abusifs, y compris la violence, les abus sexuels et les jeux d’argent.
En raison des problèmes chroniques de santé mentale de sa mère, Rebecca a assumé la responsabilité de s’occuper de ses deux jeunes frères et sœurs et a assumé un rôle parental.
Elle a déclaré : « J’ai dû assister au déclin de ma mère, y compris à de multiples tentatives de suicide, et j’ai ressenti une pression extrême pour m’occuper d’elle, de mon frère et de ma sœur.
Je me souviens que ma mère me disait de ne pas l’attendre à la porte de l’école, car elle avait l’intention de mettre fin à ses jours.
La maison familiale de Rebecca a fini par être saisie et, à 15 ans, elle s’est retrouvée sans abri. Elle s’est retrouvée dans un foyer avec rien d’autre qu’un sac à dos contenant ses affaires.
Elle raconte : « J’ai fini par aller vivre chez ma tante, mais nous avons déménagé tellement de fois que j’ai perdu le compte. J’ai trouvé très difficile de changer constamment d’école et de ne connaître personne.
Je me souviens avoir pensé que je ne voulais jamais répéter toute cette toxicité si j’avais un jour ma propre famille, alors j’ai pris trois emplois – travailler dans une boulangerie, collecter des verres dans un club social et faire du baby-sitting ».
Rebecca avait 16 ans, jonglait avec trois emplois et étudiait pour finir ses examens. Même si elle se battait pour joindre les deux bouts, elle a toujours cru que la vie s’améliorerait.
Peu de temps après, elle a rencontré son premier partenaire et, à l’âge de 25 ans, elle s’était constitué un portefeuille immobilier d’un million de livres en achetant, rénovant et vendant des maisons.
Elle raconte : « J’avais l’impression d’être devenue un promoteur immobilier du jour au lendemain et Sarah Beeny est devenue mon idole ».
Rebecca avait envie de se marier, elle a donc vendu une autre maison pour payer elle-même leur mariage à 40 000 £.
Elle a déclaré : « Je voulais vivre le rêve et avoir un énorme mariage blanc. On m’avait aussi dit que je n’aurais peut-être jamais d’enfants, alors nous avions prévu de faire une FIV.
Mais notre mariage n’était pas destiné à durer. Nous n’étions pas faits l’un pour l’autre, alors six semaines seulement après notre mariage, j’ai tout quitté – mon nouveau mari et mon portefeuille immobilier – à la recherche de quelque chose de plus.
À 28 ans, Rebecca a conçu naturellement avec un nouveau partenaire et a donné naissance à son premier enfant. Cependant, à force de travailler dans un cycle toxique de rôles contractuels en RH, elle n’a pu prendre que six semaines de congé de maternité.
Obligée de concilier sa carrière et la maternité, elle a trouvé dévastateur de devoir choisir entre les deux.
Rebecca a repris contact avec sa mère, qui a déménagé pour soutenir sa fille et sa famille, mais qui, peu après, a été victime d’une attaque cérébrale.
Rebecca a déclaré : » Ce fut un tel choc. Je ne pense pas qu’elle ait jamais vraiment récupéré, et elle est malheureusement décédée d’un anévrisme en 2019.
‘Par la suite, j’ai fait mon deuil et j’ai dû concilier mon travail avec mes responsabilités parentales, sans aucun soutien de mes employeurs.
‘J’ai décidé d’aller à l’université en tant qu’étudiant adulte pour me concentrer sur la construction du meilleur avenir possible pour ma famille. J’ai obtenu un diplôme en RH alors que j’étais enceinte de ma deuxième fille ».
Rebecca a gravi les échelons de l’entreprise et a construit une carrière réussie dans les RH, avant de pivoter dans un secteur entièrement nouveau, en achetant sa première entreprise ; un salon de coiffure à Londres en 2014. Elle a triplé le chiffre d’affaires et l’a transformé en une entreprise primée.
Avec les hauts, il y a eu des bas, alors qu’une de ses entreprises a été primée, une autre a échoué. Elle possédait un salon qui s’est transformé en une fuite toxique qu’elle ne pouvait plus rendre viable.
Elle a déclaré : « C’était une leçon précieuse sur l’argent, l’énergie et le lâcher prise que j’utilise encore aujourd’hui dans mon entreprise actuelle ».
Rebecca s’est tournée vers le coaching et a utilisé ses qualifications en RH et en psychologie organisationnelle pour soutenir et élever les autres.
À partir de 2017, elle a offert son expertise et son soutien pour aider les femmes passionnées à faire de leurs rêves d’entreprise une réalité.
Elle s’est ensuite certifiée en tant que coach de vie et a obtenu des qualifications en PNL (programmation neurolinguistique), EFT (technique de liberté émotionnelle), thérapie de la ligne du temps et hypnothérapie.
En 2020, Rebecca est devenue The Femalepreneur Coach, avec pour mission d’aider les femmes chefs d’entreprise à réussir et à atteindre leur plein potentiel financier grâce à l’activation de la richesse, l’état d’esprit de l’argent et les tactiques traditionnelles de croissance des entreprises.
En deux ans à peine, elle est devenue une coach en activation de la richesse et une stratège en croissance d’entreprise recherchée dans le monde entier.
Tout en construisant son empire, Rebecca construisait également sa famille et, en 2021, elle est tombée enceinte d’un autre partenaire. Mais la relation n’a pas fonctionné et l’année dernière, elle est devenue une mère célibataire de cinq enfants, âgés aujourd’hui de 12, 10, 8, 4 et 1 an.
Elle a déclaré : « J’ai eu des relations terribles avec des hommes, mais je suis toujours optimiste et je crois que je rencontrerai bientôt l’homme idéal ».
Pour l’instant, Rebecca se concentre sur ses enfants et inspire d’autres femmes. Elle affirme être la preuve que les femmes peuvent tout avoir.
Elle a déclaré : « Malgré tout ce que j’ai traversé, je suis une femme forte, qui a réussi et je n’aime rien de plus que d’aider les autres à atteindre un succès sans limite. Tout est possible avec le bon état d’esprit ! ».
Source : Daily Mail
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