Une assistante maternelle de 20 ans a eu un enfant avec un garçon de 13 ans: elle avait fait croire à son mari qu’il s’agissait du sien

Leah Cordice, 20 ans, habite Windsor, en Angleterre, est mariée et travaille dans une garderie d’enfants. Un profil somme toute banal qui ne permettait pas d’imaginer son lourd secret qui est aujourd’hui étalé sur la place publique.

La jeune femme est actuellement jugée devant le tribunal de Reading pour une sombre histoire de relations avec un enfant de 13 ans qui aurait débouché sur la naissance d’un enfant.

Pour l’accusation, les faits sont clairs : Leah a eu des relations sexuelles avec le garçon lorsqu’il avait 13 ans et donné naissance à leur bébé. La première fois, la gardienne d’enfants s’était rendue ivre au domicile du garçon, était entrée dans sa chambre dans laquelle il jouait à des jeux vidéos, a baissé son pantalon et eu des relations avec lui. « L’accusée était ivre et s’est rendue à son adresse. Elle est allée dans sa chambre et au début, ils ont parlé normalement. Il a même continué à jouer sur sa Xbox et à regarder YouTube. Mme Cordice s’est ensuite assise sur son lit, a commencé à le serrer dans ses bras et à l’embrasser ».

L’adolescent a expliqué « ne pas pouvoir vraiment dire non. Elle aurait continué à demander de lui faire l’amour ». Des faits qui se sont reproduits. Le couple a continué d’avoir des relations sexuelles non protégées en moyenne deux fois par mois, et ce pendant la grossesse de Leah et même après l’accouchement. Le jeune homme a également raconté que « normalement, vous êtes censé avoir des relations sexuelles et vous aimer. Ici, c’était comme si elle voulait juste le faire. Maintenant j’ai l’impression qu’elle ne se souciait pas vraiment de moi ».

Cette relation, Leah avait réussi à la garder secrète. Son mari croyait même que l’enfant était le sien. Malheureusement, un test ADN a prouvé que le collégien était le vrai père.

C’était d’ailleurs l’adolescent qui avait été mis en premier au courant de la grossesse de Leah. C’est elle qui lui avait montré, sur une application, que la date de conception correspondait à la première fois qu’ils avaient eu des relations sexuelles. Tout en sachant cela, et alors qu’elle continuait d’avoir des rapports avec lui, Leah a épousé son petit-ami de longue date.

Lorsqu’elle a donné naissance à son enfant, ce dernier a d’abord cru qu’il s’agissait du sien. Puis, il a découvert que sa compagne le trompait. « Son mari a découvert notre relation. Il n’a rien dit. Il s’est juste mis en colère et a commencé à me crier dessus. », a expliqué le garçon.

Leah a ensuite été forcée de faire passer un test ADN à son enfant qui a montré que son « amant » était le vrai père de son bébé. Une fois le pot aux roses découvert, les services sociaux ont été impliqués et la jeune femme a été arrêtée à son domicile le 9 juillet 2018.

Leah s’est alors toujours défendue devant les autorités. « Je nie tout contact sexuel avec le plaignant. Il a toujours eu le béguin pour moi et faisait toujours des remarques et des choses inappropriées. Nous n’avons pas eu de contact sexuel. Le plaignant n’est pas le père de mon enfant », a-t-elle expliqué.

Sauf que depuis sa première audition avec la police, d’autres tests ADN ont été effectués, montrant qu’il était 14 millions de fois plus probable que le garçon de 13 ans soit le père de l’enfant de Leah que son mari. Une preuve qui a forcé ses avocats à changer de ligne de défense. « Cela peut vous surprendre qu’elle, Mme Cordice, accepte maintenant qu’il y ait eu une activité sexuelle entre elle et le garçon. Ce qu’elle peut dire, c’est qu’elle a été violée par le garçon. »

Leah est jugée pour cinq chefs d’accusation, dont trois auraient eu lieu alors qu’elle avait 17 ans et deux alors qu’elle en avait 18. Elle nie toujours que le garçon de 13 ans est le père de son enfant. Le procès se poursuit.

Source: Mirror,

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