Une mère refuse les pressions exercées par les médecins pour faire avorter son bébé né sans bras
Une mère qui a refusé les pressions des médecins pour avorter son fils, Hendré, a salué le « plus beau cadeau que nous aurions pu recevoir… J’aimerais qu’ils puissent m’entendre quand je leur dis que c’est normal d’avoir un enfant qui est différent de l’idée que la société se fait de la ‘normalité' ».
Mariaan Strauss, 25 ans, originaire d’Afrique du Sud, et son mari Hendrik, 26 ans, ont été poussés par un médecin à avorter de leur fils à naître après qu’un examen à la 23e semaine eut révélé que ses bras ne se développaient pas.
Après l’examen, un médecin leur a dit : « Vous êtes égoïstes si vous n’avortez pas. Vous devez penser à l’enfant. Il ne pourra jamais avoir une qualité de vie normale ».
Mariaan et son mari ont d’abord été inquiets et effrayés par les difficultés potentielles qui les attendaient s’ils n’avortaient pas Hendré.
« Il y avait de la culpabilité et de la douleur. Et la peur de l’inconnu et d’un avenir incertain », explique Mariaan. « La société est cruelle et je me demandais si notre enfant serait un jour accepté. Va-t-il faire l’objet de moqueries et de brimades ?
Mais Mariaan a insisté pour qu’on laisse naître Hendré. Il a maintenant onze mois et ses parents le considèrent aujourd’hui comme « le plus beau cadeau que nous aurions pu recevoir ».
Hendré peut rouler tout seul et se sert de ses jambes pour avancer. Hendrik, son père, a déclaré : « Quand il se réveille, il s’allonge et nous sourit : « Quand il se réveille, il s’allonge et nous sourit… Et dire que j’ai voulu le jeter parce que j’avais peur et que je n’étais pas sûr de moi ».
Un porte-parole de la SPUC a déclaré : « L’histoire d’Hendré et la joie de ses parents nous rappellent que la qualité de vie ne doit pas être mesurée par la limitation, mais par les possibilités illimitées de l’amour que recèle chaque cœur humain.
« Le sourire qu’un bébé offre à ses parents vaut tous les défis, toutes les nuits blanches – c’est cette reconnaissance joyeuse qu’ils sont heureux d’être en vie et protégés. Non seulement cela vaut la peine de se battre pour cela, mais c’est aussi la vie elle-même ».
Source : lifenews.com
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