Vivre avec chien exerce un effet protecteur majeur contre la maladie cardiaque

Les aspects physiques jouent un rôle important, tout comme la composante psychologique.

Ce constat repose sur l’analyse d’une série d’études conduites précédemment sur le sujet. Plusieurs milliers de propriétaires de chien ont été pris en considération, et leur état de santé a été comparé avec celui de personnes qui n’en possédaient pas.

Le résultat de ces travaux, conduits par une équipe du Baylor College of Medicine (Houston), montre d’abord que la compagnie d’un chien incite à la pratique plus régulière d’une activité physique (en particulier la marche) et est globalement associée à un mode de vie plus sain. A ceci s’ajoute l’élément psychologique, avec une réduction des niveaux de stress. Concernant les paramètres physiologiques, on note – en moyenne ! – une pression artérielle et un taux de cholestérol moins élevés, ainsi qu’une plus faible incidence de l’obésité. Avec au bout du compte, une réduction du risque cardiaque.

Au demeurant, cet effet bénéfique se manifeste aussi chez des patients qui ont été victimes d’un accident vasculaire cérébral (AVC) ou d’un infarctus du myocarde. Les taux de survie (pour l’AVC) et de non-récidive (pour l’infarctus) sont positivement influencés par la présence d’un chien.

Source: circ.ahajournals.org

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