Passionné d’os humains, un jeune New-Yorkais de 22 ans les vend sur le Net

Jon Pichaya Ferry est un beau garçon, âgé de 22 ans, qui étudie le design à la prestigieuse Parsons School, à New York. À côté de ça, sa passion est des plus macabres: il collectionne et commercialise des os humains.

Pas moins de treize squelettes, une centaine de crânes et de colonnes vertébrales sont accumulées dans le duplex qu’il occupe à Brooklyn. Certaines pièces qu’il a amassées sont en vente. Sur son site jonsbones.com, le prix d’un crâne oscille entre 1 500 et 3 500 dollars (1 300 et 3 070 euros). Comptez 110 (96 euros) pour un humérus et 260 (228 euros.) pour un fémur.

Selon ce passionné d’ostéologie, il faut «déstigmatiser un commerce injustement stigmatisé parce qu’il est associé à la mort». Certains internautes qui le découvrent sur Instagram ou TikTok lui demandent si tout est légal. Jon Pichaya Ferry l’assure et ajoute que les seules personnes qui ont eu affaire à la police sont celles qui avaient enterré des ossements dans leur jardin. Lui veut leur donner une seconde vie pour qu’ils deviennent un objet esthétique ou un support éducatif accessible à tous. «L’étude du squelette est trop souvent considérée comme un droit réservé aux chercheurs», écrit-il sur son site.

Son activité hors du commun a attiré l’attention de la presse nationale. Le New York Post lui a consacré un article, mercredi. Tout comme le Washington Post en octobre dernier. Le grand quotidien évoquait notamment l’épineuse question morale induite par la vente de restes humains.

@jonsbones Typically this happens because it was handled too much, causing the connective joints to loosen and break overtime. #bonetok #skeleton ♬ Classical Music – Classical Music

La constitution de sa curieuse collection n’a pas été une mince affaire. Jon a dépensé des milliers de dollars dans cette entreprise, qui a commencé quand il avait quinze ans. Son père, un médecin, lui a offert le squelette d’un rongeur et un crâne humain acheté à un congrès. Il a d’abord collectionné des squelettes d’animaux, puis d’humains qu’il a achetés à des particuliers qui ne savaient pas quoi en faire et ne voulaient pas les jeter.

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