Sa fille de 10 ans est recouverte de boutons de la tête au pied, elle pense à une méningite, la vérité est tout autre!
Horrifiée par les ravages de la peau de sa petite Tia, la maman a néanmoins été informée par les médecins que l’enfant n’avait pas de méningite. Pourtant, tout était vraiment alarmant pour la jeune mère de famille…
Elle avait acheté une bombe de bain aux huiles essentielles de la marque Wilko, pour que sa fille puisse en profiter après le nouvel an : « Elle n’avait jamais utilisé une bombe de bain avant et voulait en essayer une. Tia s’est donc lavée avec la bombe de bain le jour où je l’ai achetée. Cinq jours plus tard, elle a dit « maman, regarde ça ! », et elle m’a montré cette éruption cutanée », déclare-t-elle.
« J’étais inquiète. J’en ai parlé à ma propre mère et elle m’a dit que ça ressemblait à une méningite. Après avoir un peu essayé de savoir si les symptômes correspondaient, j’ai décidé de l’emmener immédiatement à l’hôpital » ajoute-elle, avant d’expliquer comment le mal s’est déclaré.
« L’éruption a commencé sur son ventre, et puis s’est propagée jusqu’à son cou, ensuite sur son visage, ses bras et maintenant même entre ses cuisses… Ça ne fait que s’aggraver. Moralement, cela a été très difficile pour elle. Elle ne veut pas sortir de sa chambre. »
La petite Tia, 10 ans, se sentait évidemment très mal dans sa peau et elle n’a pas osé aller à l’école durant trois semaines de peur des moqueries de ses camarades.
À l’hôpital, point de méningite, mais une réaction cutanée sévère au produit de bain. L’enfant a pu rapidement retourner chez elle. Mais malgré ça, alors que ça fait un mois que les démangeaisons ont commencé, l’éruption n’a pas encore disparu, loin de là.
« C’est bien pire maintenant. Ça continue à se répandre, ça ne ressemble pas à une éruption normale. Les médecins nous ont donné de la crème, mais ça ne marche pas » dit-elle, dépitée.
La maman en veut aussi au magasin d’où provient le produit : « Tia n’a pas la peau sensible, et il n’y avait aucun avertissement ou quoi que ce soit sur l’étiquette du produit. Il est juste écrit qu’il faut le garder loin des bébés. Les gens doivent savoir ce qui est arrivé à ma fille et ils ne devraient plus utiliser ce produit tant qu’il n’y a pas un avertissement dessus ».
Un porte-parole de Wilko a confirmé que l’entreprise enquêtait sur la plainte, mais a toutefois déclaré que le produit avait passé avec tous les tests avec succès. « La sécurité de nos clients est primordiale. C’est le premier incident de ce type, mais nous avons néanmoins lancé une enquête immédiate et rigoureuse. »
Source: The Sun.
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