Les petits dormeurs ont un risque accru de surpoids, voire d’obésité
Comme éléments perturbateurs à une nuit réparatrice, on retrouve notamment les horaires de travail, le bruit (des transports, des voisins, etc.), les lumières venant de l’extérieur ou encore le stress lié au boulot. L’étude montre également une relation entre les troubles du sommeil et les problèmes de nutrition. Le fait de ne pas dormir suffisamment entraînerait ainsi une prise de poids via un mécanisme biologique. Joëlle Adrien, présidente du conseil scientifique de l’INSV explique par exemple au Figaro le lien entre le sommeil et la production de certaines hormones comme la leptine, qui sert à la régulation pondérale. « Elle (la leptine) est sécrétée pendant la nuit, d’où une diminution de la faim et une augmentation de l’impression d’être rassasié si on dort assez ». Et l’effet inverse se produit si nos heures de sommeil ne sont pas suffisantes.
En réalité, un cercle vicieux se met souvent en place. Le fait de mal se nourrir altère la qualité de notre sommeil. Mais lorsque l’on ne dort pas bien, cela se répercute sur notre comportement alimentaire. Avec la fatigue, notre cerveau est davantage attiré par les glucides par exemple car ils sont considérés comme plus énergétiques. Pour éviter cette spirale, l’Institut national du sommeil et de la vigilance donne quelques conseils afin de mieux dormir : éviter les excitants le soir (café, thé, etc.), ne pas pratiquer d’activité physique après 20 heures ou encore ne pas prendre des repas trop copieux et de l’alcool au dîner.
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